Benjamin Barbagli

« Le mot réalisme ne veut rien dire. Dans une certaine mesure, tout est réaliste. Il n’y a pas de frontière entre l’imaginaire et le réel. »

Federico FelliniLe Figaro

À partir de deux chefs-d’oeuvre du 7e art, j’analyse deux séquences se déroulant dans un salon, puis sélectionne quatre cadres qui distribueront les quatre murs du salon créé : In Situ

Tout concorde avec les dires de Federico Fellini. En fusionnant les murs de la pièce créée avec les plans cinématographiques, le salon nous emportera dans l’imaginaire intemporel convoqué par le cinéma, tout en nous maintenant dans la réalité temporelle convoquée par cet espace.


Les lumières révèlent ce nouvel espace de salon dans lequel les formes sont induites des cadres de films.

Étude des couleurs : la lumière dans les cadres des films  laissent apparaître un mouvement dans les couleurs, évoquant des matières qui apparaissent ensuite dans le projet In Situ

Frises techniques de deux séquences des films La Dolce Vita (F. Fellini, 1960) et La Grande Bellezza (P. Sorrentino, 2013).

Intégration du salon manifeste In Situ dans l’édition 2023 de Maison&Objet, dont le thème est « Enjoy ! En quête de plaisirs ».

Protocole expérimental en vidéo : de la sélection de deux films au projet In Situ
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