« Depuis des années, je rêvais d’architectures co-habitées avec des animaux; de lieux conçus pour accompagner une relation à l’animal qui puisse être libre et profitable à toutes les parties. »
« Il y a des chiens en refuge aujourd’hui que l’on appelle les chiens fantômes, c’est-à-dire qu’ils ne sont plus visibles. Ils ont tellement été vus sur les réseaux sociaux que les gens ne les voient plus, ils passent outre. »
Ce staff de 9 ans (cliché 1.), récemment arrivé au refuge, aura peu de chances de trouver une famille. Ceci en raison de son âge avancé et de son apparence, souvent mal perçue à cause de la réputation de ces races de chiens, jugées à tort comme dangereuses.
Ce projet se positionne comme une alternative pour les chiens « fantômes » habitants des refuges déjà surchargés mais qui n’attirent pas l’attention des adoptants pour diverses raisons. Ces chiens, voués à passer de longues années en refuge, trouvent ici un lieu où s’ancrer à long terme et jouissent d’une nouvelle visibilité.
La longère : le savoir vivre interspécifique
Le chenil commun : se mouvoir librement
Lorsqu’un chien arrive dans le grand chenil, il ne peut pas être immédiatement plongé dans le grand bain. L’espace est donc divisible grâce à des sas, permettant de moduler l’espace selon les caractères et besoins des chiens.
Les maisonnettes : dormir paisiblement