Dans Sémiotique du Design de Anne Beyaert-Geslin, l’autrice évoque une distinction entre la sculpture occidentale sollicitant une exploration concentrique et la sculpture africaine :
« […], elle tient l’observateur immobile et la repousse devant elle, ce qui a pour effet de repenser le volume et, le rabatant sur les deux directions de la profondeur, vers l’avant et vers l’arrière, tend à accuser le ventre et le derrière de la statue. »
Cette manière d’aborder un objet sculptural a attiré mon attention et m’a poussé à me pencher sur ce type de statues sacrées puis plus spécifiquement aux Totems.