L’Écume
D’abord, un vestiaire discret invite à se délester : déposer ce qui encombre, avant d’entrer dans l’intime. Face à la mer, un bureau attend l’écriture un lieu pour confier au papier ce qui ne peut rester en soi. Au centre, la méridienne tend ses lignes douces. On s’y allonge pour lire, découvrir des mots anonymes laissés par d’autres.
La Zone Claire
D’abord, une alcôve ronde et discrète, où patientent de petits moulins en bois clair. Sous la main, ils tournent lentement, dénouant les tensions dans un geste apaisant. Plus loin, une pièce plus légère encore : un carillon suspendu résonne au moindre souffle. Autour, des voiles ondulent doucement. L’air, le son, le silence, l’essentielle
Les Abysses
Tout se resserre, s’obscurcit, se dépouille. Le corps touche à l’essentiel. Un bassin, un miroir, une transition. La matière devient lourde : pierre, bois noir, voiles sombres. Au bout, une pièce ronde, un fauteuil face à l’horizon. Silence. Souffle. Être. Le dernier seuil : une rencontre intime.