Comme une balise la marque rouge permet de l’identifier de loin. Elle est le signal qui relie mes projets et se détache sur le paysage
L’observation devient, pour le randonneur, l’objet de questionnements :
Sur la vérité et la réalité de ce que l’on voit : est-ce que cette déformation
m’emmène dans d’autres imaginaires, crée de nouveaux paysages
Sur la façon dont on peut observer, qui n’est pas toujours frontale : Ce qui
permet de littéralement regarder « sous un autre angle »
En raisonnance avec l’observatoire il y a l’habitation.
Je l’ai défini comme un espace pour se reposer le temps d’une nuit, pour créer une expérience unique de contact avec le paysage, avec l’intériorité de ceux qui l’investiront.
« j’ai constaté combien la ligne d’horizon était le fil qui me liait au paysage : La limite du visible et la présence de l’infini. »