L’impluvium
Une citerne dissimulé sous les pins recueille l’eau de pluie, filtrée et guidée vers des jarres enterrées. Inspirée d’un atrium romain et de mains jointes, sa forme capte la lumière, raconte l’eau, sa lenteur et son écoulement. Coquilles, lin et bois composent ce refuge sensoriel, entre ombre, lumière et partage.
Là-haut, le chant du vent
Deux grands blocs cadrent la vue sur l’Île Longue depuis une ruine militaire. Inspirée d’un mythe et d’un geste d’enfance, la structure en cyprès et lin noir joue avec l’ombre, le vent, les sons. On y grimpe, on s’y pose. Un abri suspendu, entre lumière et silence, qui invite à contempler et ressentir.
L’Observatoire
Dans une ruine d’observatoire, on entre en se courbant : le corps s’adapte, le regard s’élève. Une structure en bois prolonge la maçonnerie, cadre le paysage et le fragmente. Ce lieu, entre repli et ouverture, invite à ralentir, à ressentir. L’ancien poste de surveillance devient espace de veille intérieure.
Le Promontoire
Sur un promontoire face à la mer, une structure en bois se déploie comme une jetée. Le visiteur y progresse, guidé par des câbles, jusqu’à un seuil suspendu. Plus de barrière, juste l’horizon. Cet ultime observatoire révèle une autre manière d’habiter le monde, entre fragilité et liberté.