L’entrée, avec sa grande ouverture sur la rue, établit un dialogue constant entre intérieur et extérieur.
Le mobilier créé, Toog, au service des visiteurs.
Œuvre de l’artiste peintre Saadio
À droite, l’artiste plasticien Yakob Fall, dans son atelier
Dans ce même espace, la couleur agit comme un langage silencieux :
en la faisant évoluer, on réoriente le regard, on réécrit les usages,
on insuffle un nouveau rythme au lieu.
Au deuxième niveau, l’espace central d’exposition.
Il s’équipe de dispositifs scénographiques,
pensés pour soutenir les démarches artistiques et curatoriales.
Les œuvres, accrochées sur des cloisons coulissantes, évoluent au rythme des accrochages et redéfinissent constamment la perception du lieu.
Discret et présent, Toog accompagne les visiteurs.
Axonométrie du niveau 2
À ce niveau, les deux ateliers de création ont été conçus comme des espaces réversibles, adaptés aux pratiques des artistes.
Ils sont entièrement appropriables, accueillant les formes de création
au sol, aux murs, et deviennent, si besoin, des lieux d’exposition.
Toog accompagne les gestes créatifs des artistes.
La terrasse, offre une vue panoramique sur le centre-ville.
Elle est désormais investie grâce à des halos d’ombre créés par des toiles suspendues.
À l’ombre de ces dernières, les mobiliers créent des lieux de pause
et de partage, autour d’un verre.
Pensé comme un support ouvert,
ce lieu permet aux artistes d’intervenir librement.
Leur création se prolonge jusqu’à la terrasse, accessible à tous.
Œuvres de l’artiste peintre Manel Ndoye
Mobilier Toog,
réalisé en tubes en acier et tôle perforée