Mycéden : Jardin flottant en mycélium

Maquette de jury. (Photographie Yifang Zhang)

Plan de situation du projet (espace de culture des modules dans le sol du Jardin Jîna Amini).

Vue du dôme depuis l’ilôt rocheux.

Vue intérieure du dôme. Evoquant une grotte, un champignon, ou encore un arbre, le dôme offre un espace d’ombre et de fraîcheur. Des trous dans la structure laissent pénétrer la lumière du jour par faisceaux. Le tronc central est pourvu d’un brumisateur, pour humidifier l’espace et permettre le développement de champignons à l’intérieur de la structure.

Vue du dôme depuis l’ilôt floral.

L’ilôt rocheux est un lieu de conversation qui m’est venu lors d’une balade à Roscoff. Sur la plage se dressait un chaos rocheux si imposant qu’un jardin s’était formé en haut, où la marée ne parvenait jamais. Une fois la mer haute, ce rocher devenait un éden flottant aux pierres confortables et au sol verdoyant.

L’îlot floral découle de l’envie de proposer du mobilier insolite évoquant la nature, ce qui aboutira finalement à cet ensemble de chaises longues en forme de pétales de rose sauvage. Ainsi, l’utilisateur se retrouve plongé dans les courbes voluptueuses de ces chaises, entourés par les bords montants qui accentuent l’effet cocon.

Axonométrie en éclatée du dôme. Chaque bulle de mycélium est séparée en 2 moitiés et repose sur une structure bois. Une fois l’assemblage terminé, chaque module en mycélium se reconnecte aux autres pour ne former qu’un seul bloc vivant, avec un squelette bois renforçant son intégrité.

Coupe technique d’un ponton d’accès à la plateforme couverte de terre.

Vue du projet depuis la passerelle Bichat.

Abel Sauvaneix