Sujin Lee

2050, ou l’ère d’une dictature de l’image

 La ville s’est figée comme glacée, elle est devenue vitrine, décors d’un immense supermarché d’informations visuelles.
Paris ville musée. On constate une surcharge des signes qui, à la façon d’un écran, masque la réalité. La ville devient invisible, recouverte, au profit des images, pubs, messages. 

 Il est essentiel de laisser notre regard vagabonder librement pour mieux discerner et redécouvrir l’essence même de ce qui nous entoure.

Masquer pour révéler

 Rendons visible le support des représentations pour permettre à chaque spectateur de prendre conscience de la fabrication de ces représentations et de se liberer de la manipulation de son imaginaire. 

Faire dialoguer coulisses et scène en créant de nouveaux axes de circulation, des espaces inédits, des espaces d’intimité.

Une expérience croissante

La première étape est donc de se libérer des clichés et des images préconçues pour entreprendre une expérience progressive qui se conclue au terme du parcours.

Les gens sont invité à se croiser dans ces espaces. Les coulisses représentent alors un lieu d’échange, un entre deux neutre, dans lequel clients et personnel peuvent se rencontrer. 

Plongées dans le dernier espace, le bar rappelle les espaces coulisses, et la scène est désormais masquée.  L’effet est inversé, les gens se rassemblent enfin. Nous avons souhaité apporter un regard neuf sur la réalité, un nouveau rapport à la ville.

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