De l’autre côté du miroir cherche à revenir aux origines des interactions sociales et à un certain étonnement qui ne vient pas du grandiose, mais de la curiosité. L'archétype du labyrinthe apparaît alors comme un concept de design qui suscite l'intrigue et encourage la découverte, les interactions spontanées, les éléments de surprise. Le labyrinthe de verre, inspiré par les installations de Jeppe Hein ou Dan Graham encourage les visiteurs à interagir avec l'espace, en s'interrogeant sur ce qui est caché, ce qui est montré ? Le jeu avec les différentes couches de panneaux de verre crée une chorégraphie et questionne la place du spectateur, mais aussi le double besoin d'interaction sociale et d'intimité, ainsi que les différentes réalités et narrations qui coexistent et s'entremêlent.