Ce mémoire explore la manière dont l’architecture peut dépasser ses limites physiques en s’appuyant sur la perception sensible des usagers. En analysant trois édifices – la Villa Savoye, la Canopée des Halles et la Cité du Vin – j’interroge le rôle de la lumière, du son, du mouvement et des ambiances comme matériaux immatériels capables de redéfinir l’espace.
À travers une approche mêlant mon ressenti personnel, les intentions des architectes et un cadre théorique, je montre que les limites peuvent être ressenties sans être construites. L’enjeu est de penser une architecture plus vivante, ouverte, co-construite avec ceux qui la traversent.