Lyam Cottet

Alger la Blanche

Ce mémoire est avant tout un hommage à ma grand-mère, à ses récits vibrants d’un Alger qu’elle chérissait tant, un Alger qu’elle rêvait de me faire découvrir. Sa disparition m’a laissé une quête inachevée, celle de
comprendre et de ressentir cette ville dont elle parlait avec tant d’amour. À travers ce travail, je rends vie à ses souvenirs, mais je me penche aussi sur l’impact de la colonisation sur l’évolution architecturale d’Alger. Ce voyage dans
le temps explore comment cette ville, marquée par des
influences multiples, a su se transformer, oscillant entre
héritage, appropriation et résilience. Ce mémoire n’est pas seulement une analyse architecturale ; c’est une tentative de lier mémoire intime et mémoire collective, pour éclairer l’identité unique d’Alger.

Directeurs de diplôme

Valérie Michel Fauré

Mot(s) Clés

Photographies prises à Alger dans le cadre de mon travail de recherche

«La Casbah d’Alger est une ville dans la ville. Elle est vivante, pleine de mystère, elle respire au rythme de ses habitants. Chaque ruelle, chaque maison est une histoire, un fragment d’un passé toujours présent. »
-Habitant de la Casbah

Dessins réalisés à Alger dans le cadre de mon travail de recherche

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