Ce mémoire intervient suite à mes expériences per- sonnelles sur les chantiers d’auto-construction. Alors que tous les corps de métiers sont représentés et soutiennent la démarche, il est flagrant de constater que l’architecture d'intérieure est presque absente de ce milieu. Ce constat laisse alors une ouverture envisageable pour la rencontre de ces deux pratiques, et voir ainsi comment elles peuvent devenir complémentaires, en passant par la question du rapport essentiel à l'extérieur. Car finalement, les enjeux de cette expérience pourraient bien dépasser le cadre de l’auto-construction tant les contraintes abordées à échelle humaine dans chacun de ces petits projets reflètent une situation plus globale applicable à l’ensemble des logements et aux besoins de leurs habitants.