Selon l’organisation Fashion Revolution, on aurait assez de vêtements à ce jour pour habiller la planète jusqu’en 2100.
On répond toujours plus facilement à des besoins qui, fut un temps, n’existaient pas et n’apportent pas de réelle satisfaction. Les achats sont compulsifs, les usages ne durent pas et un objet est jeté aussi vite qu’il a été fait.
J’ai décidé de rédiger un court questionnaire en ligne pour le partager. Et c'est en partant de ces témoignages recueillis que je mets en valeur des exemples de réemploi concrets et spécifiques.
Je m’intéresse à ces objets, à leur fonction première, aux produits auxquels ils se substituent mais aussi aux industries dont ils sont issus.
La diversité de pratiques me permet d'aborder différentes thématiques et réfléchir à leurs limites.