« C’est très curieux. On se met aux oreilles deux couvre oreilles qui correspondent avec le mur, et l’on entend la
représentation de l’Opéra, on change de couvre-oreilles et l’on entend le Théâtre-Français, Coquelin, etc. »
[…] le concert est documenté par fractionnement pour ensuite être reconstitué […] de manière à composer une image d’ensemble organique où le temps et l’espace s’entremêlent et l’événement devient de plus en plus indéfinissable.