« On écrit pour être lu. Par qui ? C’est autre chose. Peut-être un petit enfant ou un petit petit petit
descendant me sera-t-il reconnaissant de lui avoir mâché un travail qu’il pourra poursuivre s’il y trouve
intérêt. »
« Parfois je m’interroge sur le besoin que je ressens de laisser des traces et d’informer mes
descendants de différentes choses. Ce travers est commun et le mieux partagé. Beaucoup d’hommes
souhaitent que l’on se souvienne d’eux</e