Ce mémoire s’est construit comme un voyage introspectif, révélant les multiples strates — matérielles, symboliques, émotionnelles — qui composent un lieu. Il m’a permis d’en déconstruire la perception pour en saisir les traces invisibles, souvent ignorées au premier regard.
Est-il possible de redonner vie à un lieu disparu et qui continue de résonner en nous ?Autrement dit, peut-on, par la création, faire d’un espace définitivement effacé davantage qu’une sépulture figée dans le passé ?
« Nous avons tous en nous des lieux auxquels nous sommes profondément liés, des endroits qui nous habitent. »