Ce mémoire explore la transformation de l’architecture au début du 20e siècle, marquée par l'industrialisation et l'urbanisation rapides. Il se concentre sur Adolf Loos, Louis Sullivan et Robert Mallet-Stevens, trois architectes clés. Loos prônait la simplicité avec "L’ornement est un crime", Sullivan combinait esthétique et praticité avec "la forme suit toujours la fonction", et Mallet-Stevens fusionnait modernisme et tradition. Leur rejet de l’ornementation superflue et la quête de fonctionnalité sont des thèmes communs. L’étude examine également les contextes historiques, sociaux et culturels, montrant comment l’architecture reflète les changements sociétaux et technologiques, et souligne l’impact durable de leurs philosophies sur les pratiques architecturales contemporaines.