Les vacances, du verbe «vacare», en latin «être vide», renvoient à un temps vide, un temps qui ne remplit aucune fonction, aucune utilité particulière.
Cette suspension, le cinéma a décidé de s’en emparer pour y capturer l’essence de l’été. La relation de la scénographie et du décor suscite alors des interrogations sur la notion d’ambiance.
Comment est-elle créée lorsque le lieu n’est plus réel, palpable, comme c’est le cas au cinéma ?
Mon approche associe implicitement deux univers d’expression fondamentalement liés : l’art cinématographique et l’architecture intérieure.
Ce parallèle artistique et technique incarne ces métiers qui, chacun à leur manière, donne vie à l’intangible.