Ulysse Kalb


La logique de ce projet n’est pas une logique de solution par rapport à la problématique de l’eau dans la ville, mais plutôt une logique mémorielle ; ici, on revient sur la trace de l’eau comme témoin d’un rayonnement et d’une splendeur dont jouissait la ville quand l’eau coulait de source. 


Collage d’archives extraites du casier archéologique, des anciennes cartes postales, des archives départementales, ainsi que des photos prises sur site.

Le parcours du visiteur commence dans les rues du village, où les indices disséminés retracent le passage de l’eau.


Depuis la passerelle, on observe les anciens bains de l’hospice et une évocation de l’eau, une surface floue, comme un porte inaccessible vers un temps où ces bains étaient encore chauds. 
Vestiges oubliés datants du XVIIIe et XVIIe siècles, ces objets d’arts conservés depuis plus d’un siècle aux archives, retrouvent aujourd’hui une place au sein de la Rodona.

prises de son, la nuit dans le square du cloitre, l’eau de la têt à quelques kilomètres de l’église

Plan de masse de Ille-sur-Têt et sa rivière, la Têt au nord ainsi que les tracés des anciens cours d’eau.

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